"Bon, j'y vais! Au revoir tout le monde."
Un jeune homme aux cheveux longs et blancs commenca a prendre ses affaires bien rangées dans sa chambre puis soudain quelqu'un entra, c'était uen personne grisonnante, la moustache, le monocle et les habits d'un aristocrate, les cheveux tirés vers l'arrière, puis lui dit d'un ton dénué de tout sentiment.
"Alors comme ca tu oses renier ce que nous t'avons toujours enseigné? Tu penses vraiment que ton avenir se trouve parmis ce genre de personnes? Décidément, je plains ton innocence..."
Le garçon regarda la personne dans les yeux, puis lui rétorqua.
"C'est ce que j'ai décidé, oui je le pense... Après tout je ne vivrai pas toujours dans ton ombre ni dans tes rêves grand père, les changements sont toujours bon a prendre et ca tu as du l'oublier quelque part, d'ailleurs tu as oublié beaucoup de choses n'est-ce pas? La bonté d'âme, la générositée, le partage et l'amitié, tu as troqué tout ca pour ton argent."
Le jeune garçon prit ses affaires uis passa la porte, et avant de la fermer dit ces quelques mots.
"Entre toi et moi, celui qui est le plus a plaindre n'est pas celui que tu penses... Tu as vendu ton âme et je ne ferai pas la même erreur... Au revoir."
C'est sur ces mots que le jeune Kugo parti de chez lui pour aller au pensionnat Daina, en passant dans les rues, il vit ces personnes qui se retouraient a son passage, comme si il était une des sept merveille du monde, cela l'agacait, il voulait être considéré comme un autre, au moins une fois dans sa vie ne pas être seulement "l'héritié", mais bel et bien être Kugo Jimae, un adolescent tout ce qu'il y'a de plus normal. C'était pareil dans le bus, les personnes assisent a ses côtés n'osaient pas lui parler, en quelquesorte il était victime de la notoriétée de sa famille il avait l'argent, il avait tout ce qui était matériel, mais en contre partie il n'avait rien, pas d'amis véritables, pas d'attaches et encore moins une famille comme on voit souvent dans les séries, non, sa famille n'était pas soudée dans les moments difficiles, a vrai dire ils étaient toujours éparpillés a droite a gauche a cause du travail.
Il arriva enfin au pensionnat qui se présentait devant lui, il respira longuement et rentra, son manteau rouge sur ses épaules. Le vent froid soufflait et faisait virevolter ses cheveux et son habit. Un fois rentré il chercha un petit banc puis s'assit tranquillement dans le hall en se frottant les mains, regardant si quelqu'un venait a lui parler.