Atsuki arrive, plus ou moins en forme...

J'avançai sous un soleil de plomb. Aaaaaaaaaah! Je le retiens, le chauffeur! Me laisser au bout du chemin, m'obligeant à faire cinq cent mètres sous ce soleil, c'est de la torture! Mes faibles bagages à la main, j'arrivai enfin en vue du pensionnat. Mes vêtements n’étaient pas au plus haut de leur forme, ils ne l’ont jamais été, de toute façon. Mon T-shirt Blanc abîmé était ruisselant de sueur, et mon jean était troué au niveau de mon genou droit. Mes baskets, la seule paire de chaussures que j’avais, bravaient courageusement la mort qui, pourtant, leur tendait les bras depuis un certain moment… Je relevai la tête. J’étais environ à dix mètres du bâtiment, et ma colère retomba soudainement. Une nouvelle vie commençait. Une vie sans mon frère et sans ma mère. Une vie qui allait débuter dans un pensionnat où se trouvait des enfants de mon âge. Le bagne… Aucun enfant de mon âge n’avait été gentil avec moi, pourquoi cela commencerait ? J’étais bien mieux avec ma mère… Elle était peut être alcoolique, mais elle, elle était là, a me sourire, à m’aimer. Elle ne me jugeait pas, elle. Là, j’allait entré dans un monde où le paraître dominait sur l’être, et quel paraître devais-je tombé avec mes vêtements en lambeaux ? Je n’avais quasiment pas d’argent… J’étais au comble du désespoir. Cette fois ci, personne pour me sourire. Personne pour m’apprécier tel que je suis. Une larme alla s’écraser sur ma basket droite, suivie bientôt de plusieurs autres. Je pleurai. Je pleurai, la tête levée vers ce bâtiment. Vers ce bâtiment qui me semblait froid et terne. L’ambiance à l’intérieur devait être intenable ! Silencieuse, quasiment religieuse… Je n’avais rien à faire ici, je m’étais trompé d’endroit. Non, pas d’endroit, de vie ! Qu’est ce que je fous dans cette peau ? Pourquoi tout le monde s’acharnait à m’enlever les êtres que j’aime ? Pourquoi tenait-on tellement à m’envoyer avec des gens de mon âge ? Foutez moi la paix ! Trouvez un autre cobaye ! Je m’accroupis, avec un petit cri de désespoir. Les larmes jaillissaient de mes yeux. Maintenant assis, la tête entre les genoux et les mains sur la tête, je me laissai aller à mon désespoir. Bientôt, le flot de larme se tari. Je restai tout de même encore un peu dans cette position, pour réunir tout mon courage. Non, il n’y avait pas de courage à avoir. Il fallait accepter. Accepter de vivre tout ce temps dans ce lieu où je serai aussi bien reçu que dans les quatorze autres écoles que j’avais fréquentées. Je me relevai, me rendant compte à quel point cette manœuvre était compliquée, à cause de la taille de mon T-shirt. Un jour, j’allais le casser. Je me dirigeais vers la porte. Je posai la main sur la poignée. J’hésitais un peu, puis, avec un soupir, j’abaissai la poignée. La porte s’ouvrit sans un grincement, et j’entrai dans le hall. Il y faisait frais. Un peu sombre, cela me semblait toujours aussi terne. La porte claqua derrière moi. Je ne savais pas où aller, et je préférai rester droit, au milieu de la pièce, attendant que quelqu’un vienne.

je passer par la par hazard [ bon ok j'errete de mentir j'attendait qu'il finissent son arrive..]et vit un jeune homme.ses vetement en lambeau.Dehors le soleil regner il taper contre les fenetre et le hall etait devenue un four a saucisse.je m'avanca vers le garcon et dit:

"salut! moi c'est sachiko,sachiko soma mais tout le monde m'apelle sa-chan.Et toi?enchanter de faire ta connaissance."

j'attendi un peu et rencheri:

"au fait bienvenue a daina!j'espere que tu te sentira comme chez toi!"

[hj: j'ai dit qu'il faisait frais, dans la hall XD]

Je fus un peu surpris. Cette fille était arrivée si vite que je n'avais pas eu le temps de vraiment comprendre ce qu'il se passait. Je l’observais, neutre. Elle avait l’air sympathique. Je me demandais si elle était sincère quand elle me disait qu’elle était enchantée, mais ce n’était pas le moment de poser ce genre de question. Je posai ma valise sur le sol et lui tendais ma main droite.

-Bonjour, je m’appelle Atsuki Takeya. Je ne sais pas comment ça marche, ici, tu pourrai m’aider ?

Je n’attendais pas grand-chose de cette question, j’allais avoir la même réponse que d’habitude, mais bon, toujours jouer le naïf, au début… Ce lieu n’avait pas l’air si monotone que ça, en fait, enfin, je ne pouvais pas vraiment juger avec une fille qui m’adresse la parole… Au moins, elle m’a adressé la parole… Je mettais mon fatalisme de côté, et commençait à réfléchir à des sujets plus matériels. Le psy m’avait parlé de trois matières. Comment les choisissait-on ? Il fallait sûrement voir la directrice. C’était sûrement à ce moment là que je pourrai jugé le pensionnat. La directrice, elle montrait de toute façon l’ambiance du pensionnat. De ma main gauche, j’essuyais la sueur sur mon visage à l’aide de mon T-shirt, laissant voir mon ventre, carrément squelettique. Une migraine commençait à me prendre la tête. J’avais dû attraper chaud. J’essayai de ne pas montrer ma faiblesse à la fille, pour qu’elle réponde à ma question, point final. Je fermai les yeux. Je me senti en déséquilibre, et n’ouvrit les yeux que pour voir le plafond défilé. Avant que je ne réagisse, je m’écrasai au sol. La douleur devenait de moins en moins supportable. Je me relevai péniblement et mon T-shirt craqua. Encore pris de vertige, je plaqua mes mains sur le mur, et m’y appuya. J’avais envie de vomir. Si ma mère avait était là, elle m’aurait soutenu, elle m’aurait pris dans ses bras, sa chaleur m’aurait aidé à voir un chemin dans ma douleur. Elle m’aurait soufflé des mots à l’oreille… Mes pensées de dérobaient de mon esprit, et je m’étalais sur le sol. La fraîcheur qui émanait du sol n’était pas désagréable, et en me concentrant dessus, je réussi un peu à oublier ma douleur et mes nausées. Il me fallait de l’eau et de la fraîcheur…

-De… de… de l’e.. eau…

Je respirai à fond, me concentrant sur la fraîcheur du sol et sur la fraîcheur de l’air entrant dans mes poumons. Un ou deux médoc, et je serai sur pied, c’est tout…

je vie que le garcon qui ce prenomer atsuki n'allai pas bien il tomba et demande de l'eau.
*de l'eau ou je vais trouver de l'eau....???*
heuresement une femme de menage passa je lui demande si elle avait de l'eau et elle n'en n'avait malheuresement pas.Je couru a toute vitesse vers la fontaine pris un desseau vide de la femme de menage et balanca toute l'eau du seau sur Atsuki.
*ro mais quelle nouille il va avoir super froid!*
effectivement l'eau de la fontaine etait gelée.
*Raaaaaaaaaa!! je fait quoi!*
je dit a la femme de menage:

"vite aller chercher de l'eau et des medoc'! tout ce que vous trouvez!"

je m'agenouilla pres de atsuki et enleva mon gilet pour le mettre sur lui d'un air blagueur et essayant de le rassurer je dit:

"desoler je te donnerai pas ma chemise a moin que ce soit moi qui te fait si peur?"

bon d'acord je savait que c'etait pas drole mais bon... la femme de menage revint et je fit boire l'eau a atsuki.je mit ma main sur son front et il etait brulant...
*vite un medoc!*
je sorti un truc pour la fievre et lui donna en esperent qu'il aye mieu...

[hj:oups desoler... t'a vu tout ce que j'ai ecrit!!!!]

J’étais allongé sur le sol, souffrant, mais me détachant de ma douleur quand soudain, je me reçu une vague d’eau sur la tête. Je sursauté, surpris. J’ouvrai un peu les yeux, et je voyais Sachiko, complètement paniquée, qui ne savait plus quoi faire pour moi. Cette vision me fit sourire et je refermai les yeux tandis qu’elle se remettait à courir et à brailler dans tous les sens. Cette scène me fit plaisir. Même fortement plaisir. Pour deux raisons : la première par ce que quelqu’un s’inquiétait pour moi, cela me touchait beaucoup, ensuite par ce que ce pensionnat n’avait pas l’air si ennuyant… Le froid me transperçait maintenant les os, et j’avais toujours quelques nausées, mais mon mal de crâne allait mieux. Je ne compris pas vraiment ce que me dis Sachiko en posant sur moi son gilet. J’avais bien entendu tous les mots, mais j’avais du mal à saisi le sens de la phrase. Faut me pardonner, j’était bien dans les vappes, aussi… Elle demanda un médo, et me l’enfourna dans la bouche. La panique la rendait un peu rustre… J’eu du mal à avaler le cachet, mais il finit par passer dans mon gosier. Il fallait maintenant juste espérer que Sachiko ne devienne jamais secouriste… Malgré son gilet, le froid me mordait le corps comme un serpent. Je claquai des dents et frissonnai. Il aurait fallu m’emmener à l’infirmerie. J’ouvrais les yeux, et regardai Sachiko. J’ouvris à grande peine ma bouche, et réussi à prononcer la fameuse phrase, même si j’étais relativement compréhensible.

-A… l’infir… merie…

En attendant sa réaction, je fus surpris de me sentir heureux. Sa présence que je ressentais amicale comblait mon être et mon avenir me semblait moins sombre. Maintenant, il restait juste une appréhension normale, celle qu’un enfant ressent quand il rentre en sixième. Ce n’était plus gris, terne, ect… Pour l’instant, c’était normal. Le statu quo. La neutralité. C’était le bonheur, pour moi, d’avoir une chance, enfin, en ce bas monde.

le pauvre,il devait avoir mal... il avait meme pas rigoler a ma blague pas drole.Voyant qu'il trembler je le prit dans mes bras en esperent que yuki n'arrive pas et comprenne autre chose.il dit un mot que j'ai eu du mal a dechiffrer mes avec ma soeur qui parle une autre langue je ne mit pas beaucoup de temps.j'avais compris!il disait a l'infirmerie!Alors avec mes petit bras pas musclé du tout je le mit sur mon dos.

*OoOo il pese une tonne!*

[je cree le topic a l'infirmerie]

» Saku' arrive.
» Ai arrive !
» Kosaku arrive
» Shiita, arrive =D